Oui, ce film est choquant, car c'est un des rares, sur le sujet des tueurs en série, qui essaye de pénétrer dans l'esprit du tueur.
Pourquoi quelqu'un devient-il un tueur, et un tueur en série ? La question est profondément dérangeante, car la réponse, ici, pourrait être en nous. Le tueur est un malade, certes, mais ce n'est pas pour autant quelqu'un de fondamentalement différent de nous tous.
L'ambiance éprouvante du film tient en grande partie au fait que le metteur en scène ne s'est pas attardé sur les scènes horribles des meurtres, mais sur l'acteur majeur, Malcolm McDowell, qui incarne Evilenko (c'est-à -dire en fait le tueur Chikatilo). Une composition extrême et un regard presque hypnotique.
Attention, on ne ressort pas indemne devant le tableau de cet homme qui a tué 55 femmes et enfants à l'époque de l'effondrement de l'URSS (ce qui n'est pas anodin, d'ailleurs).
Merci à l'équipe.
On ne peut pas mettre de note ici, c'est trop brutal, c'est au delà du "normal" des notes.
Pourquoi quelqu'un devient-il un tueur, et un tueur en série ? La question est profondément dérangeante, car la réponse, ici, pourrait être en nous. Le tueur est un malade, certes, mais ce n'est pas pour autant quelqu'un de fondamentalement différent de nous tous.
L'ambiance éprouvante du film tient en grande partie au fait que le metteur en scène ne s'est pas attardé sur les scènes horribles des meurtres, mais sur l'acteur majeur, Malcolm McDowell, qui incarne Evilenko (c'est-à -dire en fait le tueur Chikatilo). Une composition extrême et un regard presque hypnotique.
Attention, on ne ressort pas indemne devant le tableau de cet homme qui a tué 55 femmes et enfants à l'époque de l'effondrement de l'URSS (ce qui n'est pas anodin, d'ailleurs).
Merci à l'équipe.
On ne peut pas mettre de note ici, c'est trop brutal, c'est au delà du "normal" des notes.